Sur une oeuvre classique et connue de tous, il est possible de détourner le tableau en remplaçant le portrait dans le tableau par un portrait sur commande.
Par exemple j’ai détourné le portrait de Paul Signac, par Theo van Rysselberg (1896), en y mettant le portrait d’un de mes genres, Laurent, aujourd’hui à la barre de l’Olympia, à Paris.
Voici un détail du portrait de Laurent
Ma copie de ce tableau impressionniste représentant Paul Signac, en navigateur :
à comparer avec l’original de Theo van Rysselberg, en 1896 :
Miniature d’un officier (environ 12 cm x 15 cm, sur papier).
Ma copie, huile sur bois (12 x 15 cm)
« La route, environs de Bougie », peint par Albert Marquet en 1925 :
et ma copie, inspirée par Marquet :
Le Branlebas, commandé par mon père le Capitaine de Corvette Hervé de Cacqueray, s’est illustré le 30 mai 1940, en participant à l’évacuation des troupes françaises et anglaises de Dunkerque vers l’Angleterre. Saisi par la Royal Navy le 3 juillet 1940, le Branlebas coulera sur une mine en Mer du Nord, en décembre 40.
Voici ma copie du tableau de Marin Marie :
Un portrait aux crayons-pastels.
Raymond du Breil de P. (1844-1906) époux de Cécile du Breil de P. (1847-1925)
Voici les originaux des tableaux du couple :
J’ai fait cette copie de l’un de mes arrières-grands-pères en le rajeunissant un peu, pour qu’il soit mieux assorti avec le tableau de sa femme Cécile de P. (1847-1925)
Voici les originaux des tableaux du couple :
Après avoir reproduit « Le Fauconnier », je copie ici un autoportrait que Véronèse a peint, parmi les magnifiques fresques de la Villa Barbaro, en Vénétie.
Le capitaine CHAMBRY (1813-1870) avait connu Horace VERNET en Algérie alors qu’il exécutait les tableaux qui sont aujourd’hui exposés à Versailles. Il avait ramené d’Algérie un poulain entier, MOUTARD, qui devint un magnifique cheval de selle renommé pour ses brillantes actions : il s’élevait des quatre pieds comme représenté sur ce tableau. Horace VERNET s’éprit de ce cheval et supplia le capitaine CHAMBRY de le lui vendre, ce que le capitaine finit par faire, malgré ses regrets de se séparer de ce superbe animal. Il demanda seulement à Horace VERNET mille francs pour le prix du cheval et un « petit croquis » de MOUTARD ; c’est ce tableau peint vetrs 1850, que nous présentons. Le cheval était très difficile et Horace VERNET, moins bon cavalier que peintre, fut désarçonné plusieurs fois. Il finit par le revendre à Auguste Chambry.
extrait des archives des ventes à l’Hôtel Drouot (Paris)
